L’offre de biostimulants s’est multipliée depuis les dernières années. Ceux-ci comportent des microbes et molécules bénéfiques aux plantes qui, lorsque bien utilisés, produisent une augmentation des rendements. Leurs modes d’actions varient dépendamment de quelle matière active se retrouve dans un produit. Comment savoir quel produit privilégier, où et comment l’appliquer?
William Overbeek a terminé en 2018 son baccalauréat en sciences agroenvironnementales à l’université McGill avec un « Honours » portant sur la fleuraison de la céréale Brachypodium distachyon à l’aide d’une approche de biologie moléculaire.
Par la suite, il a effectué une maîtrise en sciences végétales à McGill portant sur l’utilisation de microbes bénéfiques aux plantes dans les cultures de maïs-grain et de pomme de terre afin d’augmenter la qualité et le rendement des cultures.
William Overbeek est actuellement en train de compléter un doctorat en sciences de l’environnement à l’UQAM portant sur les liens entre les communautés microbiennes des sols et la dégradation du glyphosate dans les champs de grandes cultures québécois. À travers ses études, il prend la relève de la ferme familiale qui cultive du maïs-grain, soya et blé sur 1 100 acres à St-Hyacinthe. Il effectue plusieurs essaies de biostimulants afin d’augmenter la productivité et la rentabilité de ses cultures.
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