Prédire les pertes dues à des maladies de cultures est presque impossible. Par contre, des avancements de nos connaissances de la biologie de la pourriture à sclérotes et la pourriture phytophthoréenne du soya nous permettent de mieux les gérer. Savez-vous ce que vous pourriez faire pour réduire vos pertes?
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Mme Tanya Copley, Ph. D., chercheuse en phytopathologie, possède une maîtrise en pathologie et un doctorat en biologie de l’Université McGill. Elle a une expertise en facteurs de résistance et de virulence des maladies des grandes cultures. Elle s’est jointe à l’équipe du CÉROM en 2016 afin de développer des projets de recherche sur les agents phytopathogènes des grandes cultures, incluant la surveillance des maladies et l’identification des facteurs de résistance et de virulence. Depuis, elle travaille principalement à améliorer la gestion contre la sclérotiniose du soya et la fusariose de l’épi du blé en en améliorant notre compréhension de la biologie des agents phytopathogènes, en développant des modèles prévisionnels, et en aidant ses collègues en sélection génétique avec l’amélioration génétique pour la résistance à plusieurs maladies importantes. Elle travaille en collaboration avec le RAP-GC, ainsi que les RGCQ et le CRAAQ comme phytopathologiste experte des grandes cultures.
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